lundi 18 septembre 2017

Le crépuscule de la viande industrielle...

2 articles un peu coup de gueule pour alimenter les réflexions. Il ne faut pas forcément en tirer de conclusions hâtives mais il est sûr que le marché et le comportement sociétal d'aujourd'hui doit interroger. On ne pourra pas s'adapter au marché en rabibochant de vieilles recettes. Il va falloir innover, nous avons des atouts : race locale à petit effectif, pratiques d'élevage saines, lien au terroir, AOP... Autant de segments sur lesquels on doit être présents et aussi acteurs.





mercredi 30 août 2017

AUDIT STRATEGIQUE

Nous avons ouvert ce Lundi matin une réflexion stratégique pour redéfinir le projet de la SICA.

En effet comme a pu le voir à l'AG   lors de la présentation qui a été faite par COOP de FRANCE la SICA a un fonctionnement satisfaisant mais une performance économique défaillante. Parmi les points susceptibles de relancer la machine, il y a la définition du projet.

Nous allons donc travailler sur le projet. Le travail comportera une phase d'état des lieux et nous avons défini trois axe sde réflexion prioritaires :

  1. Le Marché, la race n'a pas suffisamment de marché tant sur son créneau de qualité qu'est l'AOP que sur une situation plus raciale globale Rouge des Prés. Nous allons analyser les données nationales d'abattage pour savoir ce que deviennent les 40 000 Rouge des Prés qui naissent chaque année. Et nous interrogerons les acteurs du marché.
  2. La génétique, il s'agit là de regarder si nous sommes performants en terme de création génétique, si nos outils sont adaptés à notre besoin. Il faudra peut-être aussi écouter le marché pour remettre à plat les objectifs de sélection.
  3. La R&D, la SICA a des projets très innovants en terme de recherche et développement sur des thèmes comme la tendreté. Le temps est venu de voir si ces innovations peuvent apporter à l'éleveur.
Ce travail comprendra des phases de co-construction en grand groupe et des phase d'analyse et de décision en Bureau ou en conseil d'administration. Le projet doit être bouclé pour le SIA 2018 c'est à dire très bientôt.


jeudi 3 août 2017

Transfert suite...

Après avoir entendu une douzaine de candidats au poste de chef de projet en remplacement de Ghislain nous avons fait une sélection de 2 candidats qui ont été entendus par le président et les vices-présidents.
Nicolas ESPALIER en fin de stage à Limoges dans le cadre de sa formation d'ingénieur agro ENSAT de Toulouse a fait l'unanimité pour son dynamisme et son bagage technique.
Il sera au Domaine le 28 Août pour le lancement de l'audit stratégique de la SICA et prendra ses fonctions le 7 Septembre.

mardi 27 juin 2017

La saison des transferts

La SICA doit remplacer plusieurs départs. Nous devons remplacer GHISLAIN qui nous quitte en fin d'année pour un projet personnel et sans doute reconstituer un poste de technicien à temps plein SICA.

Les entretiens ont commencé, une bonne dizaine de candidats à faire passer, à classer en vue d'un second entretien. C'est une tâche difficile mais passionnante, espérons que nous aurons la main heureuse !

jeudi 15 juin 2017

Bonne AG

L'AG de la SICA s'est bien passée. Il est à noter en particulier qu'elle marque un tournant vis de l'AOP dans le sens d'une vraie volonté de réappropriation par les éleveurs. Dans ce projet, et j'en ai ma part de responsabilité, nous avons fait le choix de déléguer la promotion et le commerce chaque éleveur vivant sa vie en marge de l'AOP avec parfois des démarches commerciales ou une communication qui utilise l'AOP sans la faire vivre. Il semblerait que nous soyons en train de sortir de travers.
Le conseil qui se tenait l'après-midi a acté le fait que nous entamions une démarche prospective dont l'objet serait de tracer la feuille de route des années à venir à l'intention des éleveurs et aussi de la future équipe administrative.

dimanche 21 mai 2017

Voilà l'AOP Maine-Anjou mariée avec les vins d'Anjou

Nous étions invités à Chalonnes sur Loire par nos confrères des vins d'Anjou au mariage très officiel de notre viande et des vins d'Anjou.
C'était une belle manifestation sympathique avec un nombreux public venu faire ses emplettes. Le stand a bien vendu et nous allons probablement souscrire un abonnement à cette foire qui se tient au bord de la Loire.
Bien sûr que tout ces vignerons qui viennent valoriser leur production nous inspirent dans la construction de notre réseau de producteurs fermiers de viande AOP Maine-Anjou.
On revient aussi avec le sentiment que nous avons des choses à améliorer mais on y travaille.

lundi 1 mai 2017

CAMBREMER 2017

Nous avons participé ce WE au festival des AOP de Normandie à Cambremer. Nous participons à cette manifestation depuis de nombreuses années et depuis quelques années avec du produit à vendre. C'est un beau rendez-vous, centré sur le concept de l'AOP avec un public très agréable. Nous avons fait une bonne foire, nous n'avions que des produits élaborés en présentation mais nous avons fait une bonne vente et nous étions tout content Dimanche soir. Nous sommes déjà en train de penser à une édition future avec une présentation encore plus jolie.
Plusieurs membres du réseau étaient sur d'autres manifestations, c'est un plaisir de donner de l'énergie dans un groupe où chacun s'active. Les chiffres d'Avril devraient être bons et nous attaquons Mai-Juin avec quelques belles animations programmées. Le projet se consolide petit à petit avec à chaque petite étape de nouvelles perspectives.

vendredi 14 avril 2017

Belle vente à la Station, mais...

Nous avons fait une très belle vente à la station avec une moyenne à plus de 3 100 € ce qui est notre record absolu depuis l'ouverture de la Station. Une nouvelle fois on a pu noter une demande très ferme pour les jeunes taureaux non-porteurs. 
C'est une belle éclaircie pour la race on ne doit cependant pas oublier de poser les problèmes de fond et ce matin, endossant ma casquette de membre du comité National de l'INAO j'ai adressé ce mail à Pascal CELLIER délégué territorial de l'INAO.

Voici vraiment une bonne illustration de la situation actuelle de l’AOP :

  • On parle de l’AOP dans le titre de l’article
  • Je suis président de la coopérative qui est censée vendre l’AOP mais dont le site web fait la publicité de la Rouge des Prés :  http://www.dry-aged.fr/les-races.html
  • Venez chez moi acheter de la viande non AOP mais que je valorise mieux qu’en AOP.

La confusion est totale, personne ne se souvient des fondamentaux de l’AOP, tout le monde est content de pouvoir brandir l’AOP sans en avoir les contraintes ! Je ne pas sûr que l’ODG soit demandeur d’une réflexion je pense qu’au moins au titre de membre du comité National je dois essayer d’alerter les services.

Il nous faut remettre le projet AOP sur la table de travail, peut-être modifier le cahier des charges pour permettre aux éleveurs indépendants de profiter du signe de qualité... Il faut rebâtir un collectif autour du projet faute de quoi le bel enthousiasme des éleveurs à la vente va être confronté à des réalités très difficiles car l'entreprise collective ne résistera aux ambiguïtés qui règnent actuellement.

dimanche 9 avril 2017

On avance...

Nous essayons de défendre l'idée que l'AOP n'a de sens que dans des circuits de distribution très spécifiques, réseau de points de vente en ferme, corner de vente, magasins de proximité et restaurants haut de gamme.
La grande distribution ne nous apportera rien, après de nombreuses expériences qui ont eu de l'intérêt à un moment donné nous en sommes aujourd'hui convaincus. C'est un travail long et difficile qui nécessite une organisation bien particulière. A titre d'exemple, la fourniture d'un restaurant oblige pratiquement à mettre en oeuvre une demie carcasse pour de 10 à 30 kg au restaurant tandis qu'il faudra valoriser dans d'autres circuits 40 kg de steaks et de rôtis et 80 kg de minerai à transformer. C'est pourquoi malgré notre progression constante, on avance pas à pas.
Un bel exemple de notre travail L'auberge-de-bagatelle.

mercredi 5 avril 2017

Chiffres de Mars

On continue d'avancer et nous avons pratiquement doublé notre chiffre sur les 3 premiers mois de l'année. La maquette de filière organisée fonctionne donc correctement.
Bien sûr chaque pas en avant met en lumière une nouvelle difficulté, quand passer à 3 abattages toutes les deux semaines ? Qui va nous faire un étiquetage poids prix ? Comment aller vers de nouveaux clients ?
Sans oublier la recherche de la cohésion de groupe pour que le collectif AOP¨Maine-Anjou se reconstruise et rentre à nouveau dans une dynamique du type Noir de Bigorre.

mardi 21 mars 2017

INAO

Hier j'ai participé à ma première réunion du conseil permanent de l'INAO. Le conseil permanent est en quelque sorte le conseil d'administration de l'INAO, il réunit le président et quelques membres de chaque comité.
Je suis honoré de ma récente nomination et en même temps un peu embarrassé, honoré de serrer la main du président des vins de Bordeaux d'égal à égal et conscient de la distance qui nous sépare. Je suis là "in titu personae" selon la formule consacrée mais très gêné de venir d'une AOP qui est vraiment à la peine aujourd'hui.
Vendredi en réunion de bureau je proposerais divers projets d'audit dont l'objet est de faire prendre conscience aux éleveurs des grandes difficultés actuelles et d'essayer de leur faire dire ce qu'il veulent pour l'avenir. Il restera ensuite à mettre les moyens en face pour avancer à nouveau.

vendredi 10 mars 2017

AOP or not AOP

J'ai lu dans la presse avec le plus vif intérêt un témoignage d'éleveur qui vantait les mérites de l'AOP Maine-Anjou. Cet article a l'air promotionnel. A moi, et sans doute seulement à moi seul il pose problème.
En effet la viande dont il est question n'est pas AOP parce que l'abattage n'a pas été effectué dans un abattoir habilité et qu'il n'y a pas eu de procédure d'agrément carcasse. Il s'agit donc au sens de la réglementation d'un cas d'usurpation de notoriété.
Nous ne reconstruirons l'AOP que si nous adoptons des règles communes qui prennent en compte tous les aspects du cahier des charges et pas seulement les règles d'élevage. Les AOP ne peuvent fonctionner que dans un cadre collectif et pas dans le contexte d'addition d'intérêts particuliers.
Le rappel des règles d'utilisation de l'AOP est urgent, peut-être l'étiquetage commun serait un pas vers une AOP efficiente qui ne soit pas qu'une démarche de façade.

jeudi 9 mars 2017

Les chiffres de Février sont tombés.

Nous sommes toujours sur un doublement de l'activité par rapport à l'année précédente. Les volumes significatifs sont en vue. Nous avons quelques verrous à faire sauter pour arriver à commencer à atteindre des clients pro qui vont changer l'échelle de volume et ouvrir de nouvelles perspectives.

lundi 6 mars 2017

Retour de SIA

Nous avons été un peu tendu toute la semaine car nous avions emmené plus de stock. Au final nous avons pratiquement tout vendu.
Nous revenons avec quelques fiches de contacts, plutôt sur le dossier mise en marché de viande. Il faut voir si on peut transformer quelques essais à partir de ça.
Pour le reste, bon concours, l'animation a bien fonctionné, le juge a été clair et lucide, bien. On sent une professionnalisation de tout ça, juste un regret concernant le nombre d'éleveurs exposants.
Nous avons fait un petit plus en communication avec une conférence de presse qui a réuni 4 journaliste ce qui est peu et beaucoup quand on sait que c'était le 2d Vendredi et que parmi les journalistes il y avait l'agence AGRA PRESSE qui a de plus relayé sur les réseaux sociaux.
Nous avons aussi profité du SIA pour faire avancer notre projet de remise à plat de la feuille de route de la SICA.

lundi 27 février 2017

Début de SIA

Le début du SIA est plutôt calme compte tenu du fait que notre effectif d'animaux est réduit en début de salon.
Pour l'instant seulement une petite discussion filière plutôt positive en vue d'une reprise d'abattage. La grosse journée sera Vendredi avec le concours et aussi une conférence de presse le matin suivie d'une rencontre de réflexion sur l'organisation de la SICA.

mardi 21 février 2017

Le SIA se prépare.

Les camions sont presque pleins, Vendredi matin les 5 animaux du début de semaine arriveront au Domaine et ce sera parti pour une nouvelle édition.
Ce sera une année dense pour cause d'élections présidentielles (pestilentielles aurait dit COLUCHE, il doit bien rigolé là-haut).
Nous avons un petit challenge à remplir pour ce salon, passer une vache entière en vente directe aux parisiens. Sinon quelques rendez-vous, rien de bien pressant à priori.
Au retour nous nous mettrons en mode réflexion sous l'impulsion de COOP de France et à notre propre initiative pour remettre à plat notre stratégie et poser la feuille de route pour ceux qui viendront après nous.

vendredi 10 février 2017

On avance sur MABOX et QUAFIMA

Sur le dossier MABOX la perspective de trouver un découpeur susceptible de nous servir de relais vis à vis de clients professionnels avance et pourrait se concrétiser en Avril.
Sur le dossier QUAFIMA nous devrions en savoir plus sur la possibilité de passer un premier échantillon de 40 animaux courant de semaine prochaine.

lundi 6 février 2017

Le point MABOX sur le mois de Janvier

Nous suivons notre activité au mois le mois et nous avons une réunion d'équipe plus ou moins chaque semaine avec transmission du compte rendu au président de la SICA et au président de la commission Domaine.

Pour ce mois de Janvier nous avons doublé l'activité globale par rapport à 2016 en volume et en CA.

Pour le mois prochain nous aurons l'ouverture d'un point de vente et le retour de la négociation avec un nouveau client "pro". Nous ne sommes plus très loin du premier cap de volume que nous nous sommes fixé.

Nous avons également calé quelques initiatives de communication sur le SIA pour augmenter notre audience sur Paris.

Vivement que les chiffres de Février tombent...


vendredi 3 février 2017

QUAFIMA va-t-il de venir VICOMTE ?

Nous avons eu rendez-vous ce matin avec ELIVIA pour travailler sur la suite de QUAFIMA. Pourquoi ELIVIA ? En fait nous avons rencontré les 3 abatteurs majeurs de la zone et c'est le seul qui a un vrai service R&D et ce service est à notre écoute. Il n'en reste pas moins qu'il y a quelques traces du passé avec l'entreprise...Nous avons essayé de reposer de bonnes bases de travail.
La première phase du travail consiste à finaliser QUAFIMA pour avoir un diagnostic précoce de la qualité de la carcasse grâce à un test génomique. Cette phase comporte 40 abattages à réaliser au 1er trimestre et poussera l'analyse jusqu'à la dégustation. Le résultat et le déploiement opérationnel sont attendus en fin d'année.
La seconde phase du travail doit nous conduire à un outil de mesure de la qualité de la viande à l'issu de l'abattage. Le projet nécessite 180 abattages. Il a pour vocation à être multi-races d'où le nom de VICOMTE (Viande CONtrole TEndreté). Son déploiement pourrait prendre 3 ans sachant que la Rouge des Prés sera toujours pilote dans le domaine.

mardi 31 janvier 2017

Commission Domaine

Avec le projet MABOX nous faisons une réunion mensuelle pour analyser les volumes mensuels et les actions en cours.
Pour cette fois nous avons validé un chiffres d'affaire sur l'année 2016 de plus de 90 000 € en forte croissance par rapport à 2015. Sachant que 2015 était une année incomplète.
Pour 2017 nous avons des objectifs encore importants. Pour y parvenir nous avons des projets de mise en place de 2 nouveaux points de vente et également de nouveaux circuits en cours de prospection. Pour atteindre cet objectif nous espérons pouvoir nous appuyer sur de nouveaux découpeurs.

mardi 24 janvier 2017

La boucherie de mes rêves...

La boucherie est un très beau métier mais elle n'arrive pas à se renouveler et j'ai eu la chance de visiter hier à Rouen la Boucherie de les rêves, celle qui réinvente enfin ce beau métier.
Est-ce que l'on est capable de reproduire ce modèle pour ressusciter notre AOP. Je veux le croire, pourquoi ne pas rêver à de tels outils pour les éleveurs ? On a juste tout à inventer, le business model, la gouvernance et tout et tout.... Par contre ça ne peut pas marcher avec des éleveurs spectateurs !

Mon petit doigt me dit que le prochain voyage de la commission Domaine pourrait bien se passer en Normandie.


mardi 17 janvier 2017

Demande INAO

L'INAO nous fait cette demande :

"Lors de la réunion tripartite du 17/11/2016, vous nous avez fait part de votre souhait de modifier la fréquence de contrôle en interne, afin qu’elle soit diminuée et/ou que l’assiette des contrôles internes ne soit pas calculée sur le nombre d’éleveurs habilités mais sur le nombre d’éleveurs qui engage des animaux en finition.
Nous vous avons expliqué puis notifié que cette demande implique une modification du plan de contrôle. Pour permettre l’instruction de ce nouveau plan de contrôle, l’ODG doit transmettre :
  • une demande argumentée de la modification (courrier signé du président de l’ODG),
  • Un nouveau plan de contrôle en mode suivi des modifications (ou uniquement les parties concernées). "
Notre problème est qu'aujourd'hui nous avons mis en place une démarche qualité et une équipe dimensionnée sur un projet. Aujourd'hui le projet est passé de plus 2 000 bêtes mises en finition à moins de 600. Et sur ces 600 bêtes nous avons des doutes sur le volume qui revendique vraiment l'AOP auprès du consommateur. La réponse du syndicat AOP face à cette question a été de dire : "Le technicien ne fait pas bien son travail, il faut contrôler tout le monde même en l'absence de marché". 
La réalité est beaucoup plus dure. Nous avons mis 10 ans à construire une démarche collective, au bout de 10 ans de fonctionnement cette démarche est en ECHEC. La question est :"Veut-on tenter de rebondir sur l'échec et avoir une vraie ambition collective ?" ou est-ce que l'on se contente de protéger quelques centimes sur quelques kilos au profit de quelques éleveurs individuels ?

vendredi 13 janvier 2017

Bien belle journée

Hier nous étions en réunion avec Marlène pour présenter nos projets de R&D au conseil régional de Pays de la Loire et au pôle d'innovation VALORIAL.
Notre problème dans ce dossier est de savoir si le Domaine des rues a vocation à continuer de poursuivre le travail dans la mesure où courant 2017 on peut espérer avoir les résultats génomiques tendreté qui nous servirons à réorganiser nos filières et à repositionner notre génétique. L'INRA nous dit oui, les industriels ne disent pas grand chose et les éleveurs sont un peu perdus.
Le point de discussion entre l'INRA et nous étant que nous attendons des revalorisations filière directes quand l'INRA se contente de faire des publications scientifiques.
Le pôle VALORIAL nous a mis d'accord : la prise en compte de notre dossier passe par une analyse de la valeur, c'est à dire l'évaluation de la plus value attendue pour notre filière du fait de l'innovation. Avec mise en évidence de partenaires dans chaque créneau de marché cible.
Nous avons vraiment besoin de répondre à ces questions à court terme pour décider de continuer. Nous construirons ce travail sous l'aile du pôle VALORIAL et c'est parfait.
Sur cette base nous allons remettre à plat l'existant et dessiner le futur.
Pendant ce temps Ghislain voyait un grossiste et il a lui aussi fait du bon travail.